Depuis deux mois, l’Union européenne a approuvé le 8ᵉ train de sanctions contre la Russie en réponse à sa guerre non provoquée contre l’Ukraine. Le 4 décembre, la Commission européenne a préparé un nouveau train de sanctions, qui touchera notamment les activités des banques et des médias russes.
Les ambassadeurs des 27 pays de l’UE peuvent discuter et approuver de nouvelles restrictions contre Moscou le 12 décembre. Toutefois, éventuellement, seront également abordées lors du sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’UE, jeudi 15 décembre prochain.
Dans le nouveau train de sanctions, l’UE propose d’interdire les investissements dans l’industrie minière russe, car il s’agit de l’une des plus grandes industries du pays, qui rapporte d’énormes bénéfices.
En outre, selon l’Organisation de coopération et de développement économiques, ce secteur de l’économie du pays agresseur représentait un quart des investissements étrangers dans le pays avant la guerre totale en Ukraine.
L’interdiction frappe davantage l’économie russe et la capacité du Kremlin à financer la guerre contre l’Ukraine. Cependant, selon la source du Financial Times, il est probable que des exceptions soient prévues pour certains produits spécifiques. Par exemple, le titane et le palladium, pour lesquels la Russie est un fournisseur essentiel.
Lorsque 27 pays de l’UE soutiennent la proposition d’une telle interdiction. Dans ce cas, ce sera la première fois que des sanctions seront directement dirigées contre le secteur métallurgique de la Russie.
Auparavant, selon la publication, de telles sanctions n’étaient pas imposées en raison des inquiétudes concernant l’impact potentiel sur les chaînes d’approvisionnement mondiales.
Les précédents trains de sanctions imposés par l’Occident contre la Russie ont déjà largement contribué à précipiter l’économie russe dans la récession. Dans le nouveau train de mesures, l’UE ne compte pas s’arrêter et prévoit les mesures énumérées ci-dessous.
Contrôle des exportations de technologies civiles que la Russie peut utiliser pour soutenir ses usines d’armement,
Ainsi, un haut fonctionnaire de l’UE a déclaré lors d’une conférence à Bruxelles que les pays devraient étendre les sanctions aux biens qui ne sont pas traditionnellement utilisés par les forces armées russes.
Le Financial Times a noté que la Commission européenne a refusé de commenter le 9ᵉ train de sanctions.
Le 5 décembre, de nouvelles sanctions pétrolières de l’UE contre la Russie sont entrées en vigueur. Elles fixent un prix plafond pour le pétrole, les produits pétroliers et le pétrole originaire ou exporté de Russie à 60 dollars par baril.
Toutefois, cette limite sera revue tous les deux mois. Cela est nécessaire pour répondre à l’évolution du marché. Le prix plafond sera fixé à 5% en dessous du prix moyen du marché.
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